"Je suis pour la liberté d'expression" déclarait Hervé Stassinos dans Var Matin à propos de la sortie de "Chronique de la mise à mort d'une école". Or, notre maire, qui n'en est pas à un mensonge près, avait déjà commencé à démonter un à un les panneaux d'expression libre au Pradet, affirmant lors du conseil municipal du 15 décembre 2014 que c'était de la "pollution visuelle". Aujourd'hui, la moitié de l'espace consacré à l'expression libre a été supprimé. C'est très facile de s'en rendre compte : il suffit de demander les emplacements en mairie pour avoir la vieille liste, celle du temps de l'ancienne municipalité. Il faut croire que les services municipaux ont du mal à suivre le rythme de destruction des libertés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire