mardi 15 mai 2018

UN BEL EXEMPLE POUR NOTRE JEUNESSE !

Dimanche 6 mai, aux environs de midi, la police municipale du Pradet a justement fait remarquer à une personne qui venait de circuler et de stationner sur la place de l'église avec un scooter, qu'elle n'avait pas le droit de le faire, et lui a logiquement fait déplacer son véhicule de la place. C'est très bien puisque de nombreux enfants, certains très jeunes, circulent sur cette zone.
Quelques minutes après, profitant que la police municipale était partie pour continuer d'effectuer son contrôle continu de la commune, deux nouveaux scooters ont fait irruption sur la place de l'église, effectuant le tour de celle-ci, s'arrêtant devant certains commerces, avec leurs passagers tout sourire.
La chose pourrait paraître anecdotique si les 2 conducteurs de ces scooters n'étaient pas des personnes publiques.
Le premier scooter était conduit par M. le Maire en personne, avec une passagère sans casque.
Le deuxième scooter était conduit par le directeur de cabinet du Maire, sans casque.
En conclusion ces deux personnes ont pris des routes très fréquentées à cette heure là, entre l'espace des Arts où se tenait le salon de l'e-mobilité et la place, sans casque pour eux et/ou leur passager et ont effectué le tour de la place en engin motorisé, deux choses interdites.
Quand on rappelle que le Maire d'une commune en est son premier magistrat, chargé de faire appliquer les lois, cela devient pathétique.
Vivement la mise en place de la vidéo surveillance pour pouvoir surveiller ces incivilités et leurs auteurs...
Laurent Bailloux



Le Pradet, retour de vacances de l'élu délégué aux travaux...


Une brève parue dans "L'autre mag'" de janvier 2018 a déclenché la grande colère de M. Stassinos et de la majorité ; dans cette brève le journal trouvait anormal que l'adjoint aux travaux, M. Riquelme, parti depuis septembre pour de très longues et lointaines vacances, ait perçu ses indemnités (+ de 900 € par mois) alors même qu’il n’était plus en France.
" Scandale ! Calomnie ! Diffamation ! " a crié la majorité sur tous les toits et sur tous les tons.
M. Stassinos devrait pourtant savoir quelques petites choses : seul un Juge peut dire si des propos sont diffamatoires. En l'occurrence, ils ne l'étaient pas puisque M. Riquelme, après toutes ces gesticulations, menaces et intimidations, n'a même pas choisi de porter plainte.
Et en effet, il ne le pouvait pas, à en juger par les documents publics reproduits ci-dessous...