mercredi 19 décembre 2018

CA BRÛLE LES YEUX !

Dans le magazine municipal LE PRADET (hiver 2018), on peut lire un article sur la remise en état du CTM (Centre Technique Municipal) dont la conclusion est un nouveau défi orthographique : on y apprend que le CTM (dont une partie avait brûlé en 2012) « est véritablement RENÉ de ses cendres ». Mais qui est donc ce RENÉ ? Certainement pas le participe passé du verbe renaître, car il n’existe pas. Elève Stassinos, il ne faut pas fermer les écoles !

samedi 15 décembre 2018

GRUE «COURT-CIRCUITÉE» : HERVÉ STASSINOS PÈTE UN PLOMB

Dans la dernière livraison de son Pradet Mag, le maire du Pradet accuse les riverains du futur pôle culturel et les « détracteurs » du projet d’avoir, « au nom de divergences d’opinion », commis des actes « criminels » en sabotant la grue du chantier. Furieux, il les désigne publiquement comme auteurs de ces actes avant même d’attendre les suites de la plainte qu’il dit avoir déposée. ONLFP a le regret de devoir lui rappeler une fois de plus que l’allégation ou l’imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération d’une personne ou d’un groupe de personnes auquel le fait est imputé s’appelle une diffamation publique et qu’elle est passible d’une amende de 12 000 €. Ses affirmations, formulées dans une publication municipale dont il est le responsable et qui est payée en partie par les impôts de ceux qu’il accuse, révèlent son incapacité à accepter la démocratie et son mépris pour les Pradétans qui ne partagent pas ses obsessions politiciennes. Dans ces circonstances et dans sa grande sagesse le législateur a prévu la possibilité pour la juridiction saisie de prescrire que le condamné devra accomplir un stage de citoyenneté, tendant « à l'apprentissage des valeurs de la République et des devoirs du citoyen » (article 131 - 5 – 1 du code pénal). On conseille également un rattrapage en orthographe : le mot tort s’écrit avec un t et non avec un d.
Elève Stassinos, il ne faut pas fermer les écoles.

vendredi 7 décembre 2018

QUAND LA MAIRIE FAIT SES PROPRES DECAUXNADES, l'orthographe en pâtit !

Cherchez la belle faute qui s'affiche sur tous les nouveaux panneaux Decaux de la ville !
M. le maire, une école en moins, c'est des fautes en plus !

"SABOTAGE" DE LA GRUE AU PRADET : LES CAMÉRAS DE SURVEILLANCE ENTRENT EN ACTION !


Cherchez la Decauxnade pradétane !


« SABOTAGE » (?) DE LA GRUE AU PRADET : L’ENQUËTE PROGRESSE…


24 NOVEMBRE : UNE SOMBRE DATE DANS L'HISTOIRE DU PRADET

Ce soir c'est le triste anniversaire de la fermeture définitive de l'école Jean Jaurès par décision du conseil municipal du 24 novembre 2014. Nous avons tenu à lui rendre hommage comme chaque année en venant y déposer des bougies. A notre grande surprise, M. Stassinos lui-même a semble-t-il voulu nous rejoindre, passant trois fois devant l'école (voir photo). Est-ce la confirmation du fameux proverbe "L'assassin revient toujours sur les lieux du crime ?". Ou bien, pris de remords, cherchait-il vraiment à nous soutenir ? En tout cas, après avoir beaucoup tourné, il est reparti, faute de places.








LE PRADET : ENFIN DES RÉVÉLATIONS SUR LE "SABOTAGE" DE LA GRUE !




EN DIRECT DE LA "SMART CITY / E-MOBILITY" DU PRADET...


LE PRADET : APRÈS AVOIR FERMÉ UNE ÉCOLE, LE MAIRE RÉCLAME L’OUVERTURE D’UNE CLASSE ...

Dans le « Cahier des écoles » de cet automne, on apprend que « les effectifs chargés de la maternelle Sandro ont amené Hervé Stassinos à solliciter auprès de l’Education Nationale la création d’une 6ème classe ».
On souhaite à M. Stassinos autant de succès auprès de d’Education Nationale pour l’ouverture d’une classe qu’il en a eu pour la fermeture d’une école.

"Sabotage" de la grue du chantier...


 « Cette affaire n’en restera pas là, rugit Hervé Stassinos »
L’entreprise et la mairie cherchent les « vandales » …
PAR CONTRE… POUR LE SACCAGE DE L’ÉCOLE JEAN JAURES, ON CONNAIT LE COUPABLE.


 https://www.varmatin.com/vie-locale/la-grue-dun-chantier-en-centre-ville-du-pradet-victime-dun-sabotage-275912?fbclid=IwAR0PszBMSAl9JnDLPu1i5mTVLLgtvlE3YOtufUFCTqKBrWhHVMpTwlMN1mg


lundi 15 octobre 2018

Au Pradet, le maire remplace les arbres par des grues...


Dimanche 12 octobre 2014 - Fête de la Vigne
Dimanche 11 octobre 2015 - Fête de la Vigne
Dimanche 10 octobre 2016 - Fête de la Vigne
Dimanche 09 octobre 2017 - Fête de la Vigne
Dimanche 08 octobre 2018 - Mondial de la Moule
Chercher l’erreur.
Le Mondial de la Moule du Pradet a probablement été une réussite.
Beaucoup de visiteurs et des centaines de Kg de moules et de frites engloutis.
Mais sur le fond, le centre-ville du village a été paralysé la moitié du temps, pendant 3 jours, avec un parking annexé - c’est vrai que le centre-ville regorge de places de stationnement – et une déviation conseillée, qui a grandement limité la traversée du village et donc l’attractivité de nos commerces de proximité.
Les magasins de vêtements, les fleuristes, les salons de coiffure, les primeurs etc ont ainsi été sacrifiés. Et s’ils veulent discuter du problème avec notre édile H.S : circulez y’a rien à voir…
Dans le même temps, disparition de la fête de la Vigne, traditionnelle pour notre village et tellement représentative de notre Provence et de notre village, jadis couvert de champs de vigne.
Décidément, le bling-bling est en train de remplacer la tradition.
Et dire que le slogan principal du candidat H.S. était de préserver l’âme du village.
Le slogan du Maire H.S. semble être devenu « transformer l’âme du village ».
Dans ces conditions, difficile de reconnaître notre village.
Laurent Bailloux



Grand débat politique de fond à ONLFP : UN STATIONNEMENT PEUT-IL ÊTRE ”EN MÊME TEMPS" AUTORISÉ ET INTERDIT ?

Prenons le cas de ce véhicule stationné il y a peu sur le trottoir de l’école Jean Jaurès (l’établissement public centenaire en même temps condamné et livré aux bétonnières par l’actuelle majorité municipale). Son conducteur (en même temps, il peut s’agir d’une conductrice…) sait à l’évidence qu’il (ou elle) est en infraction (passible d’une amende de 135 Euros : article R 417-11 du code de la route). Il (elle) veut manifestement échapper à une éventuelle verbalisation ou à une réprobation piétonnière en arborant derrière son pare-brise une cocarde tricolore du plus bel effet. Outre l’amende pour stationnement interdit il(elle) risque donc, en même temps, les sanctions prévues à l’article 433-14 du code pénal qui punit d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende le fait, publiquement et sans droit…, d'user de signes distinctifs réglementés par l'autorité publique. A moins qu’il (elle) ne s’estime autorisée à enfreindre la loi… par exemple en tant qu’élu(e) local(e). Les Ministres de l’Intérieur interrogés sur la question, de gauche (JP. Chevènement, JO Sénat du 17/05/1999), de droite (M. Alliot-Marie, JO Sénat du 16/01/2008) ainsi que le dernier en date, en même temps de gauche et de droite (G. Collomb, JO du 12 décembre 2017), ont tous répondu que l'apposition, sur les véhicules des élus locaux, d'une cocarde aux couleurs nationales est une pratique illégale (article 50 du décret du 13 septembre 1989). Madame Alliot-Marie ajoute même qu’elle ne « voyait pas vraiment » ce qu'apporte aux élus locaux le fait d'arborer une cocarde sur leur véhicule ; à moins que certains ne veuillent s'attirer des privilèges et que la cocarde ne soit pour eux le moyen d'échapper à certaines règles... ». Elle estime que ce n’est pas bien et termine d’ailleurs sur une tonalité légèrement biblique : « en vérité, je pense que ce n’est pas bon pour les politiques ». Heureusement, les élus de bon sens savent qu’ils n’ont aucun intérêt à faire usage de signes présentant avec les insignes officiels une ressemblance de nature à causer une méprise dans l'esprit du public. En matière de stationnement comme de mandat électoral, il est toujours dangereux de faire prendre des vessies pour des lanternes et de croire qu’on peut, en même temps, tromper les électeurs et garder leur confiance.




mardi 11 septembre 2018

ONLFP EXPÉRIMENTE LE DÉTECTEUR DE MENSONGES ÉCOLO !

Quand il a affirmé qu’un seul platane serait abattu dans l’école Jean Jaurès, Hervé Stassinos a omis de parler des autres arbres. Résultat : le plus beau platane du lieu est déjà découpé en morceaux, accompagné dans sa chute par deux cyprès. Mais on retient aussi la phrase de Christian Garnier, adjoint à l’urbanisme, qui avait affirmé lors d’une réunion avec les Riverains que le platane ne serait pas abattu mais DÉPLACÉ… En résumé, notre municipalité possède l’art de tronçonner la vérité… Et avec elle, plus rien ne pousse, hormis quelques NEZ…

Un vrai désastre.


L'HORREUR AU PRADET : LE PLUS MAJESTUEUX DES PLATANES DE L'ÉCOLE JEAN JAURES MASSACRÉ AUJOURD'HUI.


Les arbres tombent à Jaurès. M. Stassinos avait annoncé que pour construire son bloc de béton dans la cour de l'école déjà désaffectée par ses soins, seul un arbre serait coupé. Aujourd'hui, après deux cyprès, voici le tour du plus majestueux des platanes de l'école. Merci M. le maire, ce soir, cet arbre ne sera plus.

DES ARBRES QUI TOMBENT...

Les arbres tombent à Jaurès. M. Stassinos avait annoncé qu'un seul arbre serait coupé. Aujourd'hui, après deux cyprès, voici le tour du plus majestueux des platanes de l'école. Regardez comme l'homme à l'air minuscule au milieu de ses branches... un insecte... mais un insecte rapace et meurtrier, un nuisible. Merci M. le maire, ce soir, cet arbre ne sera plus.

TRI (PAS TRES) SÉLECTIF AU PRADET..

L'écologie... Si la démission de Nicolas Hulot a de quoi être désespéré, au niveau local c'est pas mieux...

(video mise en ligne par Un Pradet Pour Tous)
A l'heure où le maire du Pradet se retrouve devant le Tribunal Administratif et le Conseil d'Etat pour justifier en urgence la destruction de l'école Jean Jaurès, cette affiche est toujours d'actualité...


ON NE LES FERMERA PAS

Le peuple picard a su se mobiliser, empêcher la fermeture de 3 collèges ruraux, et faire reculer un notable local. Une belle leçon et un exemple pour tous ceux qui luttent contre le pouvoir arbitraire et destructeurs de certains élus.

https://www.facebook.com/FrancoisRuffin80/videos/944427309072140/?hc_ref=ARTtx_SC_cBQ08BKGfXdxZFoQzZtdCmITjXBQRsUPvd2mM2pF0wpH3B1VaNKYYSQMv4&__xts__[0]=68.ARBZAf0xdr1L_C4Dk1FwZiaa8agIoMTYTF-JQNUyAP33xsemXsql23iY8OkUrzelsccscpf-suah7-caJ-XBsy-pHz2Po5hJgntplEWTlbMPsFnJjk198AESatUmK9qUyT8zOZ4Z4KlQY3cOeVP-Ri-pBJv3ZJPRBqgGyPC2oGPqUuu8PumX1A&__tn__=FC-R&fb_dtsg_ag=AdwvrCh49XP_AZbLVIBtupKn_1vlIGJw7J1B50bM6YOxeA%3AAdxFCIWG_HBPum9LBhM4jc6M_npiw6n8gYnJ_Waf5DjRPw

Référé pour stopper le saccage de l'Ecole Jean Jaurès

pétition

 

LA MORT LENTE DE L’ÉCOLE JEAN JAURES...

Il y a 4 ans, c'était la fin ("provisoire" !) des cours, 6 mois après, les locaux étaient définitivement "désaffectés" : Jean Jaurès, école STASSASSINÉE, titrions-nous à l'époque. Aujourd'hui, mardi 12 juin, c'est la destruction proprement physique qui a commencé, ordonnée par le maire lui-même, Stassinos, fossoyeur du patrimoine pradétan.

A l’heure où le maire affiche des préoccupations écologiques avec son salon de la mobilité électrique, on peut regretter qu’il ne fasse rien pour faciliter et promouvoir la pratique du vélo. Au contraire, il a fait enlever les arceaux devant l’entrée du parc Cravero, contraignant les cyclistes à attacher leur vélo un peu n’importe où sur du mobilier urbain inadéquat. Les Pradétans amoureux du vélo méritent mieux !
Mais ceci est à l’image de l’action municipale… un certain manque de cohérence et d’ambition.

Véridique !


mardi 15 mai 2018

UN BEL EXEMPLE POUR NOTRE JEUNESSE !

Dimanche 6 mai, aux environs de midi, la police municipale du Pradet a justement fait remarquer à une personne qui venait de circuler et de stationner sur la place de l'église avec un scooter, qu'elle n'avait pas le droit de le faire, et lui a logiquement fait déplacer son véhicule de la place. C'est très bien puisque de nombreux enfants, certains très jeunes, circulent sur cette zone.
Quelques minutes après, profitant que la police municipale était partie pour continuer d'effectuer son contrôle continu de la commune, deux nouveaux scooters ont fait irruption sur la place de l'église, effectuant le tour de celle-ci, s'arrêtant devant certains commerces, avec leurs passagers tout sourire.
La chose pourrait paraître anecdotique si les 2 conducteurs de ces scooters n'étaient pas des personnes publiques.
Le premier scooter était conduit par M. le Maire en personne, avec une passagère sans casque.
Le deuxième scooter était conduit par le directeur de cabinet du Maire, sans casque.
En conclusion ces deux personnes ont pris des routes très fréquentées à cette heure là, entre l'espace des Arts où se tenait le salon de l'e-mobilité et la place, sans casque pour eux et/ou leur passager et ont effectué le tour de la place en engin motorisé, deux choses interdites.
Quand on rappelle que le Maire d'une commune en est son premier magistrat, chargé de faire appliquer les lois, cela devient pathétique.
Vivement la mise en place de la vidéo surveillance pour pouvoir surveiller ces incivilités et leurs auteurs...
Laurent Bailloux



Le Pradet, retour de vacances de l'élu délégué aux travaux...


Une brève parue dans "L'autre mag'" de janvier 2018 a déclenché la grande colère de M. Stassinos et de la majorité ; dans cette brève le journal trouvait anormal que l'adjoint aux travaux, M. Riquelme, parti depuis septembre pour de très longues et lointaines vacances, ait perçu ses indemnités (+ de 900 € par mois) alors même qu’il n’était plus en France.
" Scandale ! Calomnie ! Diffamation ! " a crié la majorité sur tous les toits et sur tous les tons.
M. Stassinos devrait pourtant savoir quelques petites choses : seul un Juge peut dire si des propos sont diffamatoires. En l'occurrence, ils ne l'étaient pas puisque M. Riquelme, après toutes ces gesticulations, menaces et intimidations, n'a même pas choisi de porter plainte.
Et en effet, il ne le pouvait pas, à en juger par les documents publics reproduits ci-dessous...




lundi 30 avril 2018

”L’association des amis du maire" s’est réunie vendredi 20 avril au bar Le Marigny … L’occasion de fêter l’augmentation de 25% de ses indemnités !

DROIT DE RÉPONSE


M. Stassinos nous écrit : ”Mr le responsable de publication de la page ONLFP. . L article que vous publiez est amputé de ma réponse. Étant mis en cause par des propos de nature injurieuse et diffamatoire publiés par voie de presse, que vous relayez, j e vous demande de publier la deuxième partie de l'article qui correspond au droit de réponse comme la loi le prévoit."
Nous sommes très honorés d'être lu par M. le maire. Nous regrettons cependant qu'il ne fasse que lire, sans profiter des bons conseils d'On Ne La Ferme Pas !

Un maire qui s'attribue une augmentation mensuelle de 25% sur ses indemnités alors qu'il venait d'annoncer y avoir renoncé... Nous l'avions déjà dénoncé. Heureusement qu'il existe au Pradet une opposition digne de ce nom pour porter sur la place publique les petits arrangements de M. Stassinos...

mercredi 18 avril 2018

ELARGISSEMENT DE L’A57 : UNE POLITIQUE ÉTROITE

Comme aucune décision satisfaisante de transports collectifs de masse n’a été prise depuis 20 ans dans l’agglomération toulonnaise, on arrive à un degré de saturation du trafic automobile. Voilà qu’on nous promet la fin des bouchons dès avril 2018 grâce à la mise à 2x3 voies de l’autoroute A57 à l’entrée de Toulon, et ensuite jusqu’à Cuers ! Des travaux qui vont se dérouler sur 5 ans et engendrer de nombreuses expropriations et destructions de lieux d’habitation, pour un coût estimé de 600 millions d’euros au bas mot.
On est en droit de penser que des solutions plus respectueuses du cadre de vie et des populations (tramways, bus en site propres plus ambitieux) sont possibles dans une optique écologique, environnementale et sanitaire.

Une enquête publique est en cours sur le sujet JUSQU’AU 19 AVRIL : donnez votre avis, il ne reste qu’un jour !
Mail : a57-epvar@administrations83.net
La page consacrée à l’enquête publique, c’est ici : http://www.var.gouv.fr/elargissement-de-l-autoroute-a57-toulon-la-valette-a6643.html


LE MASSACRE CONTINUE AU PRADET...

Il faut croire que la maladie du tronçonneur fou est contagieuse...