vendredi 31 octobre 2014

STOP AFFAIRE AU PRADET ! MOBILIER URBAIN !

STOP AFFAIRE AU PRADET SUR LE BON COIN !


Monsieur le Maire du Pradet, Hervé Stassinos, ayant décidé de fermer l'école centenaire de sa commune, nous tenons, en tant que simples administrés, à informer les municipalités environnantes, le Conseil Général et les groupes scolaires du Var que cet équipement de ville ne devrait pas manquer d'être disponible sous peu en solde.
Nous pensons que la Mairie du Pradet, soucieuse des deniers publics, pourra ainsi faire quelques économies précieuses.

dimanche 26 octobre 2014

Le Pradet : la campagne municipale à laquelle vous avez échappé (3)

On se demande encore pourquoi M. Stassinos et son équipe n'ont pas clamé haut et fort leurs intentions pendant la campagne municipale. Cela aurait fait de belles affiches et de beaux slogans. Ah, oui, c'est vrai : ils n'auraient jamais été élus.

Le Pradet : la campagne municipale à laquelle vous avez échappé (2)

On se demande toujours pourquoi M. Stassinos et son équipe n'ont pas clamé haut et fort leurs intentions pendant la campagne municipale. Cela aurait fait de belles affiches et de beaux slogans. Ah, oui, c'est vrai : ils n'auraient jamais été élus.

vendredi 24 octobre 2014

La campagne municipale à laquelle vous avez échappé (1)

On se demande pourquoi M. Stassinos et son équipe n'ont pas clamé haut et fort leurs intentions pendant la campagne municipale. Cela aurait fait de belles affiches et de beaux slogans. Ah, oui, c'est vrai : ils n'auraient jamais été élus.

Hervé Stassinos l'a annoncé...


jeudi 23 octobre 2014

COMMISSION MIXTE : UN SIMULACRE DE DEMOCRATIE

Mardi 21 octobre, à 10h00 s'est tenue une commission "mixte" chargée d'examiner l'avenir des locaux de l'école Jaurès. Vous avez bien lu : non pas l'école elle-même, qui est déjà enterrée par l'équipe municipale, mais seulement l'avenir des murs de l'école.

Il faut rappeler déjà que la question de l'avenir de l'école Jean Jaurès n'a pas lieu d'être si on se fie aux premières annonces du Maire en mai et juin 2014 qui avait répété que la fermeture était "provisoire". Une fermeture provisoire suppose nécessairement une réouverture. Comment Monsieur Stassinos peut-il se défendre d'avoir menti ? Comment peut-il justifier ce changement total de discours entre juin et septembre ? Et de fait, il ne l'a jamais justifié.

En effet, à la rentrée scolaire, M. Stassinos commence à montrer plus clairement ses vraies intentions (dans Var matin et le Pradetmag'), abandonnant son leitmotiv : le provisoire se transforme en définitif, la commission extra-municipale future est remplacée par une "large concertation" dont on apprend qu'elle est en fait déjà commencée depuis deux mois. Enfin, cette concertation porte non plus sur l'avenir des groupes scolaires mais sur l'utilisation des locaux de Jean Jaurès, se réduisant à une liste hétéroclite de choix possibles, dont est exclu le maintien de l'école. Comment Monsieur Stassinos peut-il faire croire à une "large concertation" estivale sans donner l'impression de se moquer du monde ? Comment peut-il faire croire à une discussion publique quand il exclut du débat toute opinion contraire à la sienne ?

Voilà pourquoi il s'est senti obligé d'organiser une commission qui aurait une petite coloration démocratique, peut-être dans la perspective du conseil municipal annoncé au 3 novembre. Mais cette commission mixte est une nouvelle provocation : organisée dans la précipitation et en catimini, elle est un défi à toute logique.

Une commission organisée dans la précipitation : les représentants des parents d'élèves en ont été informés très exactement une semaine à l'avance. C'est court comme délai pour le point d'orgue de cette "large concertation" soi-disant débutée en juin 2014 !

Une commission organisée en catimini :  aucune information sur sa composition et son objet n'a été rendue publique. On pouvait se faire une idée des "invités" en se tenant à l'entrée du CCAS où elle avait lieu : le Maire, ses adjoints et conseillers (Mme Gomez, Mme Rialland, Mme Siccardi, Mme Prati-Aiguier), un adjoint de l'opposition (M. Chable, FN) des personnels de la Mairie, M. Cardon (Inspecteur de l'Education Nationale), et enfin trois représentantes des parents d'élèves des écoles élémentaires (deux pour Sandro, une pour Jaurès). Pas de professeurs, pas de représentants de parents d'élèves des Maternelles ou même de simples administrés.

Une commission absurde : de deux choses l'une : soit la commission examinait l'avenir de l'école Jaurès, et il était nécessaire de convier des professeurs, des parents d'élèves de Maternelle et d'Elémentaires, soit elle ne s'intéressait qu'à l'avenir des locaux et on se demande bien pourquoi l'Inspecteur de l'Education Nationale M. Cardon avait été invité.

Enfin, le service d'ordre était assuré par M. Xavier Coumont, directeur de cabinet du Maire, ou plutôt videur, qui a particulièrement brillé lors de cette matinée, en faisant barrage physiquement à deux mères d'élèves (qui voulaient tout simplement participer au débat) et en menaçant de porter plainte contre l'une d'entre elle, qu'il tenait pour responsable d'une petite griffure sur son poignet.

On ne peut être qu'affligé et indigné de voir qu'un sujet aussi grave que la fermeture d'une école se termine, sans jamais avoir été débattu, par cette mascarade, avec pugilat dans les couloirs, menaces et intimidations.






France 3 édition locale du 3 juin 2014 :

Monsieur Stassinos se voulait rassurant. Vous pouvez cocher tout ce qui est faux :"ce n'est pas une fermeture définitive de l'école", "c'est vraiment une fermeture provisoire", "pour faire des travaux de désamiantage", "commission extra-municipale à partir de septembre"... Vous noterez aussi qu'à la fin il se reprend de justesse, ayant failli prononcer le mot "réouverture", remplacé in extremis par une expression ronflante et passe-partout.

lundi 20 octobre 2014

Monsieur le maire, écoutez Mme Gomez !

En clôture du conseil municipal du 20 juin 2014, Mme Cécile Gomez répond à M. Fréféric Fiore, élu de l'opposition, à propos de l'avenir de l'école Jean Jaurès. Vous pouvez écouter son intervention ici (3 premières minutes) :

 http://www.le-pradet.fr/IMG/mp3/15_-_questions_diverses_cloture_du_conseil_municipal_du_20_juin_2014.mp3

Nous vous transcrivons ci-dessous son intervention :

"Comme nous l'avons déjà communiqué, d'abord l'école Jean Jaurès ne ferme pas. Les locaux seront inaccessibles pour cette année scolaire pour raison de travaux de désamiantage du bâtiment qui se trouve dans la cour, la totalité des élèves de Jean Jaurès seront hébergés dans l'école Sandro. Nous avons appris aujourd'hui qu'il n'y avait aucune fermeture de classe prévue par l'Education Nationale à la rentrée prochaine, c'est plutôt une bonne nouvelle pour les élèves de la commune qui vont encore bénéficier pour cette année d'effectifs allégés dans toutes les classes et dans toutes les écoles. Donc pour l'instant nous mettons tout en œuvre pour la rentrée, pour que l'accueil des élèves de Jean Jaurès dans les locaux de Sandro se passe pour le mieux pour tous les élèves. Les locaux sont suffisants pour accueillir la totalité des élèves de Jaurès. L'école a été conçue pour accueillir la totalité des élèves donc il n'y aura aucun souci pour les accueillir autant dans la cour que dans la cantine, que dans la garderie périscolaire. Concernant l'avenir des locaux, comme nous l'avons aussi communiqué, nous prévoyons dès l'automne de mettre en place une commission extra-municipale pour réfléchir ensemble en concertation sur l'avenir des locaux de Jean Jaurès. Donc seront évidemment débattus les différentes possibilités : la possibilité que les locaux Jean Jaurès restent un groupe scolaire mais aussi la possibilité que les locaux puissent accueillir d'autres activités mais toujours à destination du public, ouvert à tous les Pradétans, dans le domaine culturel, associatif, pour les jeunes, pour les seniors, etc… Ce sera discuté en concertation à la rentrée "

 C'était il y a 3 mois. Mme Gomez se voulait rassurante et elle annonçait une "bonne nouvelle" : aucune fermeture de classe à la rentrée 2014 et donc des effectiffs "allégés pour tous les enfants de la commune". On sait ce que cela a donné : une fermeture de classe par l'Education Nationale dès la première semaine de la rentrée. La "bonne nouvelle" n'aura tenu que le temps des grandes vacances ! Maintenant, si nous suivons le raisonnement de l'adjointe déléguée aux affaires scolaires, c'est bien DE TRES MAUVAISES NOUVELLES qui s'annoncent pour les enfants de la commune : ils NE BENEFICIERONT PLUS "d'effectifs allégés" dans toutes les classes et dans toutes les écoles". . . Voilà ce que dit vraiment Madame Gomez à ses concitoyens. Car après cette fermeture de classe, c'est deux, trois, voire quatre fermetures de classes qui vont avoir lieu avec la fermeture annoncée de Jaurès. Puis Mme Gomez annonce la tenue à l'automne d'une commission extra-municipale, et elle insiste beaucoup sur la notion de dialogue : "ensemble", "débattus", "discuté", répétition du terme "concertation" : or, dès la rentrée, cette commission extra-municipale est oubliée, remplacée par l'annonce rétro-active d'une "large concertation" estivale (M. Stassinos dans Var matin du 4 septembre), remplacée par une "commission mixte" annoncée précipitamment il y a quelques jours pour mardi 21 octobre au matin (donc, bien sûr, comme toujours, pendant les vacances scolaires). Mais ce n'est pas tout : Mme Gomez ajoute que dans cette concertation seront "évidemment débattus", parmi les "différentes possibilités", la "possibilité que les locaux Jean Jaurès restent un groupe scolaire".

Alors, Monsieur le maire, écoutez Mme Gomez, que vous avez sollicité pour répondre à M. Fiore, et faites donc ce qui a été annoncé dans le conseil municipal du 20 juin 2014 : faites une vraie concertation, ouverte au débat, à la discussion publique, et qui inclura la possibilité de conserver Jaurès comme groupe scolaire. C'est la moindre des choses que l'on puisse attendre d'un "débat", qui suppose des avis contradictoires, et non pas une liste de propositions interchangeables excluant le mot tabou : école.

dimanche 19 octobre 2014

Objet: Mot Tabou

Rappel ! Envoyez le message suivant à l'adresse concertation.jaures@le-pradet.fr Objet: Mot Tabou Texte: Je propose une ECOLE dans les locaux de l'école Jean Jaurès. Faites-le immédiatement, avant mardi, jour de la "commission mixte" annoncée discrètement récemment (et pendant les vacances scolaires !).


samedi 18 octobre 2014

On est toujours là !

Ce matin, affichage manuel devant l'école Jean Jaurès, seule solution pour que les banderoles ne soient pas enlevées dans l'heure. En prime, nous vous offrons quelques images de la cour intérieure de l'école. Bon week end.






lundi 6 octobre 2014

Et pendant ce temps...



(l'école Sainte Bernadette est un établissement privé sous contrat, de la Maternelle au Primaire)

jeudi 2 octobre 2014

UNE LARGE CONCERTATION

Suite de notre grand reportage sur la LARGE CONCERTATION (annoncée pour septembre, commencée en juin) concernant l'avenir (déjà décidé) de l'école Jean Jaurès...