LE PRADET : COMMENT DÉGRADER LE SERVICE PUBLIC, SELON HERVÉ STASSINOS

M. Stassinos se vante d’être à la pointe de l’innovation en matière de «mobilité électrique». C’est pourquoi il se déplace en Zoé payée par la mairie, et laisse les parents se débrouiller avec un service de bus scolaire qu’il a volontairement dégradé.
Depuis son arrivée, un grand bus, un poste de chauffeur, et une ligne de ramassage ont été supprimés.
Dès 2014-2015, l’adjointe à l’éducation avait promis l’achat d’un nouveau bus de remplacement : nous l’attendons toujours.
Avant 2014, il n’y avait ni flicage ni obligation, et on pouvait prévenir le matin pour le soir si on voulait finalement chercher ses enfants à l’école.
Les bus étaient pleins !
Moins de pollution, moins de voitures aux abords de l’école…
Avant 2014, la mairie proposait gratuitement les bus pour les sorties scolaires mais aussi pour les classes de découvertes.
Depuis 2014, le manque de bus a entraîné la mise en place d’un seul trajet interminable pour desservir la Cibonne, la diligence, la Garonne et les Oursinières.
Depuis 2014, par manque de places, le CDE (Centre Départemental de l'Enfance) a été prié d’affréter ses transports pour emmener ses enfants à l’école.
Depuis 2014, la mairie néglige ouvertement le ramassage scolaire : aucune information donnée au guichet unique ou sur le portail citoyen, interruption du ramassage dès qu’il y a un bus en réparation ou un chauffeur absent.
Voilà donc comment un service, qui était un trésor précieux du Pradet, est en train de mourir à petit feu.
Mais monsieur Stassinos n’en a cure, trop occupé à préparer son futur salon de « l’ e-mobilité ».
Mobilité électrique, immobilité publique !